Auteur : Julia Billet.
Editions : L'Ecole des Loisirs.
Parution : 2011.
Nombre de pages : 299 pages.
Genre : Jeunesse.
Prix : 14, 80 euros.
Résumé : " Nous allons changer de nom, et nous devrons tous oublier, le temps de la guerre, ceux qui nous ont été donnés par nos parents. Rachel s'appelle désormais Catherine, Catherine Colin. Lorsque les lois contre les Juifs se sont intensifiées, ses parents l'ont confiée à la Maison des enfants de Sèvres. Mais bientôt il ' n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistance organise la fuite des enfants juifs en zone libre. Ils doivent du jour au lendemain quitter l'école, leurs camarades et partir avec des inconnus. Ils ne savent pas comment feront leurs parents pour les retrouver. Ils ne savent même pas si leurs parents sont encore en vie. Dans sa fuite, Catherine emporte avec elle un Rolleiflex et quelques rouleaux de film. La directrice de la pension qu'elle quitte lui a confié une mission : Fais des photos, collecte des images et rapporte-nous tout cela à latin de la guerre. Nous en aurons besoin. "
Avis : Un roman intéressant. Je l'ai lu en... Quoi? Deux jours?
Je reconnais, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Ce qui était sûrement lié au fait que j'avais hâte de commencer un autre livre, donc ça ne compte pas vraiment. Par contre, j'ai réussi à entrer dedans plus rapidement que je le croyais. L'héroïne m'a charmée dès le début. Avec son insolence, son amour pour la photographie, le fait qu'elle refuse de penser à ce qui la fait souffrir... Je me suis retrouvée en elle. Si bien que les pages défilaient toutes seules. Je suivais tout ce qui se passait avec intérêt. Rachel voyage beaucoup à cause de la guerre, elle n'est en sécurité nulle part. Alice m'a charmée également, ainsi que d'autres personnages. J'ai été moi-même étonnée d'en apprécier autant. Le moment que j'ai préféré s'est avéré être, curieusement, celui où Rachel se sépare d'Alice. Enfin, quand elle séjourne avec la femme d'Antoine. L'effort déployé par Rachel pour aider les enfants est réellement impressionnant. Je l'admire pour ce qu'elle a fait et la manière dont elle a tenu le coup. En même temps, elle n'a pas le choix, elle s'efforce de tenir le coup pour les autres.
La fin m'a satisfaite approximativement. Je m'attendais à celle-ci, mais j'ai été frustrée de ne pas apprendre de ce qu'il advient de certains personnages... Dommage.
Conclusion : Ce dernier point mis à part, je ne regrette pas de l'avoir lu.
Je reconnais, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Ce qui était sûrement lié au fait que j'avais hâte de commencer un autre livre, donc ça ne compte pas vraiment. Par contre, j'ai réussi à entrer dedans plus rapidement que je le croyais. L'héroïne m'a charmée dès le début. Avec son insolence, son amour pour la photographie, le fait qu'elle refuse de penser à ce qui la fait souffrir... Je me suis retrouvée en elle. Si bien que les pages défilaient toutes seules. Je suivais tout ce qui se passait avec intérêt. Rachel voyage beaucoup à cause de la guerre, elle n'est en sécurité nulle part. Alice m'a charmée également, ainsi que d'autres personnages. J'ai été moi-même étonnée d'en apprécier autant. Le moment que j'ai préféré s'est avéré être, curieusement, celui où Rachel se sépare d'Alice. Enfin, quand elle séjourne avec la femme d'Antoine. L'effort déployé par Rachel pour aider les enfants est réellement impressionnant. Je l'admire pour ce qu'elle a fait et la manière dont elle a tenu le coup. En même temps, elle n'a pas le choix, elle s'efforce de tenir le coup pour les autres.
La fin m'a satisfaite approximativement. Je m'attendais à celle-ci, mais j'ai été frustrée de ne pas apprendre de ce qu'il advient de certains personnages... Dommage.
Conclusion : Ce dernier point mis à part, je ne regrette pas de l'avoir lu.
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