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dimanche 5 février 2017

Delirium, Tome 1

Auteur : Lauren Oliver.  
Editions : Hachette (Black Moon).
Parution : 2012.
Genre : Jeunesse science-fiction.
Nombre de pages : 456 pages.

Résumé : Lena vit dans un monde où l’amour est considéré comme le plus grand des maux. Un monde où tous les adultes de 18 ans subissent une opération du cerveau pour en être guéris. A quelques mois de subir à son tour « la Procédure », Lena fait une rencontre inattendue… Peu à peu elle découvre l’amour et comprend, comme sa mère avant elle, qu’il n’y a pas de plus grande liberté que laisser parler ses sentiments. Même si cela implique de quitter ses certitudes…

Avis : En toute franchise, j'ai commencé cette lecture avec beaucoup d'appréhensions. Pourquoi? A cause du scénario. J'appréhendais le résultat, tout simplement. Mais, au final, je sors de cette lecture avec un sentiment de satisfaction. 

L'auteur nous a bien conduit là où elle le voulait. J'ai apprécié cette histoire, bien que le concept en lui-même reste, franchement, irréaliste. L'idée de base est bonne. Le rendu est plutôt bon. Même si pas exceptionnel. J'ai moyennement apprécié l'écriture de l'auteur. Non pas qu'elle écrit mal, bien au contraire. Seulement, je me suis ennuyée plus d'une fois à certains passages, j'ai été confrontée à des descriptions interminables... J'ai dû sauter quelques passages. Ce qui gâche un peu tout, c'est le côté prévisible. Je savais que ça allait se passer comme ça dès le début. Dès qu'elle le voit pour la première fois. C'est tellement évident. Du coup, ça a peut-être un peu gâché mon plaisir, je l'avoue.

Pour ce qui est du reste... Bah, je n'ai pas trouvé les personnages si originaux. La seule chose que je peux reconnaître à l'auteur c'est de savoir faire vivre les personnages. Elle décrit très bien les émotions de Lena, ce qui nous permet de se plonger dans son univers avec facilité. Alors... Parlons de l'histoire d'amour. Contre toute attente, je l'ai trouvée juste... belle. Simple. Mignonne. Moi qui m'attendais à lever les yeux au ciel plusieurs fois, j'ai été étonnée de constater que je ne lâchais pas les pages des yeux. Je l'ai lu pratiquement en une journée, c'est pour dire ! Néanmoins, cette histoire d'amour prend un peu trop de place dans le roman, on oublie parfois ce qui en est à l'extérieur. Pourtant, je ne conteste pas la bonne qualité de l'ouvrage. Parce que, hé oui, j'ai pleuré. Rien que ce signe-là, ça veut dire que l'auteur a réussi. Lauren Oliver a réussi à m'émouvoir, à la fin... Et quelle fin ! ... Autant dire que je meurs d'impatience pour lire la suite.

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